De bon spectacles ont été produits ce festival d'Avignon 2016, in, Off, Villeneuve en scène. Il est difficile de les repérer, les mettre en valeurs. La diversité, la multitude de spectacles fait vivre Avignon et ses alentours durant le festival, avec une heureuse effervescence dans les lieux reconnus comme de bons théâtre et lieux culturels. Le public festivalier se compte moins dans les spectacles de rues, qui ont presque totalement disparus, qui avaient participés à créer le Off d'Avignon. Le nombre croissant de spectacles en salles rend possible à un grand nombre de compagnies de s'y produire, ce qui leur permet de se faire connaître, d'être programmé. Cela dit, au vu du nombre, cela reste surtout une vitrine qualitative, une publicité de plus, crédibilisante sur sa page Facebook. D'anciens, mais bon spectacles, ont été repris, remontées, rejouées heureusement, leur donnant une seconde vie permettant leur découvertes. Des créations multiculturelles travaillées de façon réussies, ont  pu être jouées. On leur souhaite bonne suite. Ainsi que pour tous les spectacles qui ont ravis, intrigués, fait réfléchir. Merci aux acteurs, comédiens, techniciens, acteurs de la machine de théâtre, lieux accueillants, pour avoir permis que soit vus ces spectacles enrichissants. Il faut continuer à tirer vers le haut une création positive, sur les thèmes qui font notre vie, la rende meilleure. Le théâtre, qui décortique les choses, nous fait rêver, rend public les bonnes valeurs citoyennes et humaines d'ouverture d'esprit et de bien être ensemble, tend à rendre le monde plus serein, à stopper l'imbécillité. Faire connaître la dangerosité organisée par ceux qui nous dirigent, tend à la combattre, éclairée. C'est une belle manière de théâtre que celle là, nous divertir comme le faisait Molière, en.nous apprennant ce qui se passe et se prépare à la Cour...

Sur la situation du contexte actuel :

A la suite des événements tragiques de cette année et ceux précédents et annonciateur, il n'y a pas "de sinistres crétins" comme l'écrit un confrère, mais une police cachée, des renseignements, qui fomentent des guerres, créent leur possibilités de se produire. Ceci se fait à l'aide de pions qui incitent et paient de pauvres gens, pour faire ce que les initiateurs ont décidés stratégiquement, puis les menacent si pris d'un peu de conscience ils veulent arrêter. Ces pions-victimes deviennent alors initiateurs à leur tour, se faisant connaître par leurs méfaits. Ce sont donc les militaires de commanditaires, qui les ont incités puis obligés. Tant que cette pratique sera secrète, elle ne sera pas sanctionnée, cela perdurera. Il est très hypocrite de s'indigner de ce que font les pions, tandis que ce sont les meneurs qui scénarisent et planifient ce qui se passe. On a toujours su que la police secrète fomente les guerres. La question à se poser est pourquoi la laisse t-on faire.? Il faut arrêter cette hypocrisie à polémiquer sur le fait, qu'un tel délinquant, désoeuvré, pauvre, ou harcelé, à fait ce que ses supérieurs lui a demandé, ou fait ce qui était prévu qu'il fasse. Quand on sait que l'assassinat de Charlie Hebdo était prévu depuis au moins quatre ans, que cette police était au courant au plus haut lieu, et que cela était planifié par ses propres membres... Sachez, personnes qui demandaient la protection de cette police, que c'est elle qui mène le jeu, exploite la connaissance de vos habitudes, exploite d'autres pions et trouve, non pas la solution pour vous protéger, mais celle de faire le contraire si ordre il y a. Cela fait marcher l'économie des initiateurs en chefs, permet de faire voter des crédits, embaucher du personnel, donne du travail à ceux qui ont l'ordre d'arrêter les sollicités, financent les journaux qui décortiquent les faits sans se risquer à parler des  commanditaires chefs de projets des drames. Voila comment tourne le monde...

Et si celui du théâtre s'emparait de cet état de fait qui bouleverse le monde ? C'est bien de dire aux uns et aux autres, de s'aimer, entre peuples, entres niveaux sociaux, mais si existent des commandes de ce type, par des toujours plus puissants que les bonnes consciences, avec argent et pouvoir à distribuer, tout ceci est réduit à néant. Néanmoins, limiter l'encouragement à la culture à été un bon moyen pour éliminer ce qu'elle apportait, à savoir, de la conscience, pour qu'il y aient d'autres valeurs que l'argent, et une ouverture d'esprit, pour faire comprendre, que pour que le monde aille bien, il faut que tous aient une place (positive) à y jouer, pour que la religion refuge ne devienne pas une loi utilisée par les faiseurs de guerres. La révolte des Islamistes a pu se créer parce que des gens qui ont voulus s'insérer se sont vus rejetés. La misère, le manque de travail, fait le lit des dictateurs, qui se sont servis de l'argument du rejet. Trop simplement expliqué, c'est pourtant l'histoire. Sans parler des plus hautes instances politiques, puissance des Etats Unis et de la France, intérêts du pétrole, qui sont certainement les buts premiers des meneurs, pour nous faire nous entre-tuer, embourber des populations dans des guerres civiles

Les souhaits :

Quoi qu'il en soit, à notre niveau, il faut faire vivre et prospérer la culture, dans la voie de la paix. Le vivre ensemble est essentiel pour cela, le respect de chacun, l'esprit critique développé, incité, pour ne pas tout accepter, sans pour autant devenir délinquant faute d'être entendu. Le devoir du bien, devrait être encouragé, légitimé au lieu du contraire, puisque dans un triste retour en arrière, nos libertés d'expressions, de critiques, se voient remises en question dans le monde.