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genèse Saigon
et anecdotes, mise en garde
Jusqu'au nom de sa compagnie, la metteuse en
scène a choisie l'avis des autres, gens de rg certainement, soit
"balances, "indics", "collabos", via des clochards consultés en stop par
des agents rg qui bien entendu le disent rarement et font parler, comme
au café.
A ce propos, est ce que cette femme aime les
hommes ? Leurs personnages sont tous violents, déphasés, peu
consistants. Seules quelques femmes, pas très sympas, ont plus de
densités. Ou bien est ce un fait au Vietnam dont il est fait état ?
Ce qui occasionne ces réflexions sont dues au
harcèlement de cette dame aux cheveux gris en brosse si insistante
envers nos chroniqueurs lors de la représentation, et en amont, de
l'insistances des billeteurs du Cloitre St Louis pour faire voir ce
spectacle non prévu, à la place d'un "Ramona" et "Sopro", dit "complet",
alors qu'on pouvait obtenir des places au guichet avant le spectacles au moins.
notes a propos :
"La pièce est fait de bouts de récits, de personnages incarnés, dans une histoire collectée par la metteuse en scène, synthétisé dans un lieu (idée des clochards), avec même décor". "C'est par un intermédiaire, le jeune Vietnamien, qu'est traduit la terrible nouvelle, trop dure à entendre pour la femme dont le Français n'est pas la langue, qui d'ailleurs n'a plus rien voulu entendre quand elle a compris à demi mots (clochards consultés aussi sur cet épisode, par probablement une autre femme inconnue en amont; notre metteuse en scène doit "avoir de l'aide"...)".
"Le début de Saïgon se passe en 1996 à Paris, ce qui se reconnaît d'emblée par l'ameublement du café-restaurant, les vêtements des personnages. Le changement d'époque se matérialise par un changement de lumières, qui "blanchit", affadit les couleurs, restituant un effet d'intérieur sans couleur qui permet d'évoquer l'époque de 1954, inscrit au néon au dessus de la scène : "Saïgon 1956", à la place de "Paris 1996" (deux idées de clochards co scénaristes à leur insu, sur demandes)".
Gens de théâtre : n'écoutaient pas n'importe qui, et n'exigeaient pas d'inconnus des choses rapportées à vous, par on ne sait qui, sans vous être enquis de la véracité du fait par la personne même, et par une voie normale, pas en stop, car un stoppeur, forcément n'est là que pour se déplacer. Il ne faut pas écouter des personnes du renseignement, là pour vous tromper, vous "faire tomber" même si vous êtes honnête. Des agents perturbateurs du renseignements sont là pour ça, alimentés, permissionnés, car "malades", faire le mal leur procure plaisir, et leur malfaisance est utile aux renseignements qui les utilisent pour "éliminer des gens" (outre leur petite cellule Alpha, camionnette aux deux tueurs bien sous tous rapport des plus gentils en apparence, dont c'est la fonction officielle -de tuer pour le renseignement- dixit journal magazine du mois d'aout 2017 sur le sujet), ce que permet la force de leur anonymat, en faisant exécuter des actions fragmentées demandées aux pions, sans qu'ils connaissent les vrais buts et raisons de leurs "missions". Ce qui permet tous les abus, tous les drames qu'on peut lire dans les journaux (drames qui existent sur des suggestions d'agents).
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