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genèse Saigon

et anecdotes, mise en garde

 
La metteuse en scène "aidée" sans doute, à ses aficionados, en une femme âgée en robe fleurie, à l'accent du midi, coiffée en brosse, gris et court comme un homme, qui demande à quelqu'un dans la salle "de ne pas écrire parce que ça fait du bruit avec les feuilles..."La très jeune metteuse en scène de "Saigon"a pris des clochards en stop pour  documenter sa pièce alors future,  renseignée par on ne sait qui (mais il ne peut y avoir que le  renseignement qui gère ce genre de rencontre inopinée). Il faudra ajouter que les clochards ainsi utilisés viennent de déposer plainte au Ministère de l'Intérieur, car ce ne sont pas des indics et ils demandent qu'on cesse de les prendre pour des gens "de la maison", qu'on renvoient comme une balle de ping pong, vers tous un tas de gens les plus divers, pour "trouver des idées", alors qu'ils ne sont ni concernés ni du milieu. Ceci, face à des gens qui exigent ces idée, se croyant tout permis, car "on"  leur a dit qu'ils le pouvaient, étant donné que des clochards ne seront pas crus, si par hasard ils révélaient ce qu'on leur a demandé.
 
C'est ainsi qu'un clochard, se voit figurer dans cette pièce, en un personnage féminin quelque peu ridicule, dotée de  bonnes intentions pas bien nettes. C'est ainsi que l'on voit et entend, un jeune Vietnamien, dire, "se débrouiller", interrogé dans le restaurant, lieu unique de la pièce, pour évoquer, qu'il n'a pas de maison, tandis qu'une esseulée lui propose son canapé ()
 
Jusqu'au nom de sa compagnie, la metteuse en scène a choisie l'avis des autres, gens de rg certainement, soit "balances, "indics", "collabos", via des clochards consultés en stop par des agents rg qui bien entendu le disent rarement et font parler, comme au café.
A ce propos, est ce que cette femme aime les hommes ? Leurs personnages sont tous violents, déphasés, peu consistants. Seules quelques femmes, pas très sympas, ont plus de densités. Ou bien est ce un fait au Vietnam dont il est fait état ?
 
 
Ce qui occasionne ces réflexions sont dues au harcèlement de cette dame aux cheveux gris en brosse si insistante envers nos chroniqueurs lors de la représentation, et en amont, de l'insistances des billeteurs du Cloitre St Louis pour faire voir ce spectacle non prévu, à la place d'un "Ramona" et "Sopro", dit "complet", alors qu'on pouvait obtenir des places au guichet avant le spectacles au moins.
 
 
notes a propos :

"La pièce est fait de bouts de récits, de personnages incarnés, dans une histoire collectée par la metteuse en scène, synthétisé dans un lieu (idée des clochards), avec même décor".

"C'est par un intermédiaire, le jeune Vietnamien, qu'est traduit la terrible nouvelle, trop dure à entendre pour la femme dont le Français n'est pas la langue, qui d'ailleurs n'a plus rien voulu entendre quand elle a compris à demi mots  (clochards consultés aussi sur cet épisode, par probablement une autre femme inconnue en amont; notre metteuse en scène doit "avoir de l'aide"...)".

 

"Le début de Saïgon se passe en 1996 à Paris, ce qui se reconnaît d'emblée par l'ameublement du café-restaurant, les vêtements des personnages. Le changement d'époque se matérialise par un changement de lumières, qui "blanchit", affadit les couleurs, restituant un effet d'intérieur sans couleur qui permet d'évoquer l'époque de 1954, inscrit au néon au dessus de la scène : "Saïgon 1956", à la place de "Paris 1996" (deux idées de clochards co scénaristes à leur insu, sur demandes)".

 

 

Gens de théâtre : n'écoutaient pas n'importe qui, et n'exigeaient pas d'inconnus des choses rapportées à vous, par on ne sait qui, sans vous être enquis de la véracité du fait par la personne même, et par une voie normale, pas en stop, car un stoppeur, forcément n'est là que pour se déplacer.

Il ne faut pas écouter des personnes du renseignement, là pour vous tromper, vous "faire tomber" même si vous êtes honnête. Des agents perturbateurs du renseignements sont là pour ça, alimentés, permissionnés, car "malades", faire le mal leur procure plaisir, et leur malfaisance est utile aux renseignements qui les utilisent pour "éliminer des gens" (outre leur petite cellule Alpha, camionnette aux deux tueurs bien sous tous rapport des plus gentils en apparence, dont c'est la fonction officielle -de tuer pour le renseignement- dixit journal magazine du mois d'aout 2017 sur le sujet), ce que permet la force de leur anonymat, en faisant exécuter des actions fragmentées demandées aux pions, sans qu'ils connaissent les vrais buts et raisons de leurs "missions". Ce qui permet tous les abus, tous les drames qu'on peut lire dans les journaux (drames qui existent sur des suggestions d'agents).