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Notes  à propos du thème de Provisoires

 

Anecdotes (témoignages) : Dans les centres d'urgences et autre endroits sociaux (et plus l'endroit reçoit la visite de gens dans la misère et la détresse), il y a des bénévoles et salariés ainsi, déconnectés des réalités, de ce qu'il faut faire ou pas. Il y a aussi les bénévoles ou employés qui en profitent pour exercer leur tyrannie qui trouve possibilité dans ces endroits pas protégés par un gouvernement qui rejette les demandeurs. L' idée est répandu que la personne qui est là, la bien cherché, qu'il faut lui "donner des leçons", sans prise en compte que toutes les pauvretés n'ont pas les mêmes origines, surtout dans ces lieux ici, et que le demandeur doit être juste aidé. Un pauvre devrait être considéré plutôt comme une victime, et non comme quelqu'un à faire culpabiliser. Ont été vu dans ces endroit, d'ex employés de la bac, reconvertis dans la psycho et le social, entretenir une rémunération d'indics à la cocaïne, exercer en psycho de manière personnelle sur le lieu de travail d'accueil d'urgence, inciter une jeune fille à contracter le sida, pour être "plus aidée" (et qu'elle ne vienne plus là), organiser un harcèlement avec l'aide de ses anciens amis de la Bac, contre une bonne place à la mairie, envers une personne venant au centre, suivant commande d'une offreuse de "bonne place" ne voulant plus qu'elle vienne là, couvert par la direction de l'employé, cliente aussi de cocaïne pour certains membres, voire de protection pour divers motifs.

Il y pour exemple d'employés corrompu, a cette jeune assistance sociale à la vie sexuelle minoritaire, qui a avoué que sa direction utilisait les services d'un "Monsieur ex policier" (reconvertit dans le renseignement), quand on voulait "se débarrasser" de quelqu'un, Cet "ex p" "liquidant" les personnes désignées (les faisant "disparaître", ou les faisant devenir folles notamment, harcelées sans relâche par des inconnus, sur des médisances inventées, et une connexion avec  des services de justice et de santé, qui l'utilise et par là lui obéisse si besoin : "il arrive à avoir des renseignements qu'on a pas, il arrive à faire des choses qu'on pourrait pas faire", "il nous débarrasse des gens qui nous dérange, qui nous donne trop de travail ou pour qui on ne sait pas quoi faire". La jeune assistante sociale dit à la personne qu'elle nierait, si était révélait leur conversation et son enquête.  L'as dit des choses personnelles sur sa victime-cliente, sur lesquelles elle pose questions, ce qu'elle nie plus tard, cite des noms qu'elle ne peut connaître d'elle même, fait croire à celle-ci que sa structure sociale va "s'occuper de récupérer des biens laissés ailleurs", affabulation fausse qui  trompe la personne qui croyait avoir à faire à une fonctionnaire honnête. S'en remettant au dire de l'as, la personne perd tout alors. Cette assistante sociale fait partie du renseignement, là pour tromper "faire tomber plus bas" quelqu'un, en échange de monter en grade. N'hésitant pas à mentir, niant ce qu'elle a dit, et acceptant la mort de sa cliente, sur les dires d'une personne lui annonçant son intention de la faire tuer, en mentant sur l'explication de ce but, ce qui est accablant pour cette assistante sociale au téléphone enregistré,  qui nie bien entendu. Il y a pléthore de ce genre d'attitudes ahurissantes dans ce type d'endroit. Il y a des employés (dont des ex assassin non condamnés) infiltrés pour le Renseignement,

Les "Pole-Emploi infiltrés", qui dénoncent les sans papiers, à la demande du gouvernement encourageant la délation comme sous le régime Allemand de la France occupée par l'envahisseur (en tout cas encore sous nos précédents gouvernements).