La jeunesse, âge merveilleux… Ici pas de ça, toute les merveilleuses possibilités de la jeunesse sont réduites à faire le mal, par des esprits perturbés, de la plus grande dangerosité pour autrui. Insupportable scènes qui me font partir une vingtaine de minutes après le début du spectacle. Mots obscènes, cruauté insoutenable infligé à ses semblables, tout ce qui peut être merveilleux et heureux dans la vie annihilé par des êtres malfaisants et qui entraînent à leur suite ceux qui ne le seraient pas encore.

Je ne connaissais Olivier Py que de nom (connu), maintenant je vois : deux lettres pour plein d’horreur.

Un matin de juillet perdu, mais heureusement seulement vingt minutes...