retour

 

 

Incident dans le cadre de la manifestation

 

 

 

 

 

Insultes dans le Cour d'honneur du Palais des Papes
par des dirigeants de théâtres de la manifestation "Souffle d'Avignon"

 

Une personne de 55 ans  à été rayée, insultée par des membres fondateurs du Souffle d'Avignon,
plus précisément Madame V du théâtre untel C, et probablement des clients et membres de son équipe.
Ainsi que par une dame avec des cheveux relevés sur la tête d'âge mur, de la billetterie du théâtre B  (pouvant être la
 même personne impliquée dans une affaire de harcelement et de disparition d'un téléphone l'an dernier, dame qu aurait travaillé au théâtre M, avant de travailler maintenant pour le théâtre B, et avant au théâtre L)
Une dame parlant à Madame V qui développait son propos : "Cette fille ...".  Elle est laide !  Elle est difforme...". " Les vêtements qu'elle porte...!".  " Elle doit pas faire grand chose dans la vie,  pour s'habiller comme ca...  Les chaussures qu'elle a...  C'est vraiment..." .
Il faut imaginer la conversation de ces gens parvenus, sans culture (certains le revendique), avec un accent du midi, amplifiant la grossiéreté et la méchanceté des propos.
Toute une suite de propos diffamants (sur d'autres points non cités ici), insultants,
"étonnants" pour un groupe de théâtre se référant à  Jean Vilar et son souhait de "Théâtre populaire, pour tous"
 
Il faut se demander ce qui pousse des gens à harceler,
sans doute par des demandes de pervers dont il ne faut acceper ni les cadeaux ni les demandes,
même paraissant sans gravité, mais curieuses, non officielles, de l'ordre de la "plaisanterie", la" bonne leçon",
mais qui brisent des vies par la répétition de faits harcelants discriminant une personne,
 faite par des "indicateurs sans causes"( sans raisons réelles)
là pour gagner des "points de malfaisance", des clémences pour leurs délits.

 

Le couple d'hommes directeurs d'un cinéma en à fait de même pour les insultes,
en compagnie d' un de leur employé, disant au passage de la spectatrice à la caisse "Ca sent l'éther !".
Tandis que plus tard, l'employé, simple d'esprit, poursuit dans la rue, en criant  "Meuh..." quand il  croise la cliente...
Ces harcelants déshonorent leurs professions et leur personne en agissant ainsi, ils en sont méprisables en tout les cas