Quand
nous nous réveillerons...
d'Henrik
Ibsen
- Théâtre
de la Voie Lactée-----
- Midi-Pyrénées----
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- Mise en
Scéne : D. Galarreta
- Musique,
son : Dominique Chausson. Eclairage : Alain
Barumchercyk
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- Avec :
Hélène de Boissezon, Christophe
Bastien-Thiry, P-J Charrel, A.
Farina-Cotte, I. Delion,
D. Galarreta, M. Galaup, J.
Gonzales, JP. Grizou,
S.Lemai-Chenevrier
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- 21H15.
Cour de la Manutention
- Durée
: 2H. Du 17 au 26 juillet 2006
Un
spectacle de rues qui, lorsque je l'ai vu le soir de la
générale, m'a captivé. J'ai
écouté cet l'univers étrange d'un
couple qui s'est habitué l'un à l'autre, de
passage dans un hôtel habité de gens
étranges. La petite dame est fascinante dans son jeu,
regard mobile, voix à accent ce qui n'empêche
en rien de croire au personnage, gestes lents et
méthodiques, on se demande qui elle est, on a envie
de connaître la suite de l'histoire qu'on devine
pleines de rebondissements et de choses mystérieuses.
Du vrai théâtre avec un texte d'un grand
auteur, toujours très actuel.
16
juillet 2006
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La Rive gauche en
chantant
de
et avec :
Yves
Pignot, Emmanuel Depoix
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- 16H.
La Parenthése : 18 rue des Etudes. 06
07 96 15 65------
- Durée :
1H20. Du 8 au 29 juillet 2006-----
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A la
suite dYves Pignot nous partons à la
découverte de chansons méconnus
chantées dans les nombreux cabarets de Paris dans les
années 50 à 70. Le public ce jour là
apprécie beaucoup « la
sensibilité » dYves Pignot et de son
camarade, comme je lentends après la fin du
spectacle applaudit.
dimanche
23 juillet 2006
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- Rufus
joue les fantaisistes 2
-
auteurs
multiples
- Oscar
Tango_______
- Ile de France-__------
- lumière
: Zoé Narcy. Costume : Martine
Henry-
- avec
: Rufus_____-
- 21H :
Théâtre du Chien-qui-Fume : 75 rue des
Teinturiers. 04 90 85 25 87
- Durée : 1H15. Du
7 au 29 juillet 2006
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- Un beau jour d'été, dans le
Festival In, à Villeneuve-lès-avignon, j'ai vu
pour la première fois Rufus en "vrai".
J'ai découvert son univers sur scène, et un
sketch où il cherchait à louer un chat
pour le week-end pour lui tenir compagnie. Un univers
fait de poésie et d'absurde, de tendresse,
d'humour parfois (souvent) acide,
d'une
façon d'être au monde et d'observer nos
attitudes.
Je
l'ai ensuite écouté au Chien qui Fume, dans une histoire
poétique et très personnelle
soulignée de lumières couleurs ciels, où il personnifiaient
les
éléments de la nature qui nous entoure,
se mettant, ou nous mettant, à leurs places.
- Aujourd'hui il joue avec le public
réceptif, pour l'amener là où il veut,
vers des choses plus personnelles toujours en rapport
avec notre société,
pendant
de courts intermèdes entre les sketches des autres qu'il
propose cette année.
Parmi
les histoires choisies, celle d' un professeur en
médecine s'adressant à son patient,
celle d' un clochard dans un magasin de chaussure,
où je reconnais les mots de Murielle Robin et,
il nous l'apprends, ceux de Pierre Palmade.
Ce soir Rufus dans son spectacle ma beaucoup
évoqué le grand Bourvil ou Fernand
Raynaud et son eau ferrugineuse.
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- L'oeil bleu, sensible, à la vois belle et
profonde, habillé de rouge et de noir, grand de
taille et grand d'âme, Rufus, signant son
dernier livre (ou il fait part de ses informations sur
les méfaits des ondes de la
téléphonie mobile, dissimulés par
les marchands vendeurs), inspire un grand respect
malgré sa proximité avec les gens, sa
façon d'être simple. Il n'a pas besoin
d'élever le ton pour se faire entendre.
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- Je suis venue ce soir retrouver une chose
oubliée, l'univers de Rufus.
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- vendredi 27 juillet 2006
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